Sur une suggestion de Memento qui n'ose pas la poster lui(elle)-même.
Préliminaires : On dit que deux suites un et vn sont équivalentes quand leur quotient tend vers 1 quand n tend vers l'infini, et ça se note : un∼vn.
Il n'est pas trop difficile de prouver que ∼ est une relation d'équivalence sur les suites, en particulier un∼vn et vn∼wn implique un∼wn.
Et voici le paradoxe :
Il est facile de vérifier que n∼n+1.
De même, n+1∼n+2, ... 2n−1∼2n, par transitivité n∼2n.
Donc lim or \lim_{n\mapsto\infty}(2n/n)=2, de plus 2=1+1.
Donc 1+1=1 (en base 10, je vous vois venir petits malins).
Jean-Claude Van Damme aurait-il raison ? Saperlipopette !