« Ce n’est pas possible » marmonnait Gadjo, on passe forcement à coté de quelque chose dans cette affaire. Sur un coup de tête Il convoqua au commissariat JustineF sur qui il n’avait cessé de garder un œil.
Celle-ci s’assit sur le bord de la chaise que lui avança Gadjo.
Son front couvert de sueur brillait sous les rayons de la lampe et elle n’arrêtait pas de triturer nerveusement la lanière de son Leica.
Gadjo compris à son attitude qu’elle cachait quelque chose et soudain, sous le feu roulant des questions, elle s’effondra en pleurs, avouant sa participation au crime.
« Je n’avais pas le choix » cria t’elle dans un sanglot, « j’ai agi sur l’ordre de mon patron ».
« Comment ça ! Mais qui est ce ? », lâcha aussitôt Gadjo.
« Je ne peux rien dire, il me tuerait si je le dénonce ! »
« Trouvez l’auteur ! »
« De ma bouche, il ne sortira plus de paroles et de vos indices, faites l’inventaire. »
http://imgcash2.imageshack.us/img232/95 … nefnn1.jpg
Elle me demanda par signes son matériel de photo, puis
Remplit un bac d’un liquide nauséabond.
« Chut ! » Fit-elle. Elle éteignit la lumière et mis une feuille dans le bac,.
Avec le nom de l’auteur, complétez en majuscules l’adresse suivante :
http://www.prise2tete.fr/upload/Gadjo-*******.gif
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Et un début d’indice apparaîtra.
Gadjo boucle sous les verrous JustineF. La nuit porte conseil se dit il, on verra demain matin comment exploiter cet indice.
Le lendemain,
Les façades des maisons se réveillent petit à petit. Quelques fenêtres éclairées ça et là témoignent d’une activité naissante.
Chez Gadjo, la lueur bleutée du réverbère, filtrée par la persienne, raye la table de cuisine.
L’inspecteur, pantoufles aux pieds, remue machinalement son café. Il ne peut s’empêcher de songer à cette foutue enquête qui met ses nerfs à vif tant les rebondissements sont nombreux et improbables.
Ses pensées sont brusquement interrompues par le coup de sonnette familier du facteur.
Celui-ci lui dépose la pile quotidienne de factures, lettres et publicités diverses.
Après son départ, Gadjo en triant son courrier, est attiré par une enveloppe marron portant son nom, inscrit à l’aide de lettres découpées dans différents journaux. Fébrile, il l’ouvre aussitôt.
Un mot succinct tapé sur du papier banal indiquait :
Après avoir ingurgité 18 cachets d’aspirine, Gadjo découvrit le personnage caché dans cette énigme. Grâce au fichier Interpol, il trouva facilement sa compagne et faxa rapidement le tout à Nopin.
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