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Résumé de la discussion
- DOC91
- 26-01-2009 18:12:21
Je vous en prie, soyez déterminés et trouvez le mot caché … Les auteurs seraient un plus ;-)))
Comme il s'agit de poètes étrangers, Google risque de ne pas être très bavard alors voici les clés, pas très poétiques mais redoutablement efficaces , pour vous aider dans cette recherche :
L.C.A. Laboratoire de Chimie Appliquée H.A.B. Home Affairs Bureau C.D.D. Contrat à Durée Déterminée F.C.B. Futbol Club Barcelona C.E.E. Communauté Economique Européenne A.G.D. Association Genévoise des Diabétiques
Spoiler : indice Pour les vrais de vrais, ceux que jamais on ne voit à leur verre qui s'arriment, ce ne sont que des gens du grand Nord, l'instant norvégien en somme, ce sont les initiales des poètes qui vous permettent de reconstituer le mot et pour vous aider voici une charade :
Mon premier contient des classes Mon deuxième peut être satis ou d'hiv Mon troisième est au ras du sol Mon tout en minuscule vous guidera vers le site qui présente cette poésie nordique : http://********.monsite.orange.fr/
Spoiler : espoir Pour les autres, que l'hiver déprime, si, dans ces six extraits, à l'aide de ces six sigles, vous découvriez ce mot de six lettres, alors essayez, sans vergogne, de me dire qui ils sont
Nous, qui nous rencontrons quelques courts instants, enfants de la même terre et du même miracle, sur la presqu'île battue de tempête de notre vie! Allons-nous partir indifférents et sans amour? La même solitude nous attend tous, le même murmure douloureux sur l'herbe de la tombe.
Je le sais bien, il est un coeur qui a la même inspiration, avec un même désir, une même indignation même souvenir et espoir. Le trouverais-je, tout serait juste, et la vie irait légère. Mais c’est le pire à rappeler : jamais je ne le trouverai.
Le temps est comme l'eau et l'eau est froide et profonde comme ma propre conscience et le temps est comme une image peinte d'eau à moitié et de moi.
Tiens-moi plus fermement de tes bras arrondis ; tiens fort, tandis que ton cœur toujours a sang et chaleur. sous peu, nous serons partis comme les baies de la haie ; sous peu, nous aurons disparu, comme les bulles du ruisseau.
Toi fils de l'homme, quel que soit le poids de ton destin, ne cherche pas chez tes faibles semblables consolation! ne pose pas ton chagrin contre une poitrine déjà lourde! ta peine est tienne, et tu dois la porter seul.
Ainsi j’ai de nouveau le pied contre la terre et la terre est mon amie.
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