Gadjo est de garde cette nuit.
Un autre élève policier lui tient compagnie. C’est un joyeux luron dont il apprécie la présence. Comme lui, Gad est peu doué en mathématiques, la preuve mais Nopin compense facilement cette lacune par une virtuosité d’écriture que Gadjo lui envie.
Contemplant le ciel, il observe les étoiles en attendant que son nouvel ami commette un de ses jeux de mots désopilants apportant ainsi un peu de gaîté dans cet univers ô combien masculin.
Mais cette nuit, Nopin semble en panne d’inspiration. Gadjo en profite pour lui parler de la correspondance entre son grand-père et le mystérieux commissaire Papiéchau.
-Qu’est-ce ? interroge Nopin. Les révélations du petit fils d’Hitler ou bien le fait que Jésus Christ avait un frère jumeau ?
-Mais non ! C’est sérieux, une certaine Papiochka est en danger, mais je ne sais même pas où elle demeure.
-J’ai bien trouvé une autre lettre que Fulgence, terrassé par la maladie n’a pas eu le temps de poster, mais je n’y comprends pas grand-chose :
-Alors, que Nopin pond ?
Son ami semble éteint et courbant la tête comme un bossu il s’éloigne dans la nuit en marmonnant : Houla, cette énigme ira à toi, Nopin y ne sait pas quoi penser !
(En MAJ.)
Bonne enquête à tous; 
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